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Catherine, le 6/9/2016

VOUS AVEZ FAIT UN TRAVAIL REMARQUABLE, BRAVO !
je vais diffuser largement
merci

Paul Israel, le 6/9/2016

Bonsoir,
J’ai apprécié la réflexion et l’analyse de Christine Fontaine et Michel Jondot dans l’article « Vivre avec l’Islam ».
C’est un travail de longue haleine reposant sur un dialogue en vérité, la confiance réciproque, le respect des différences qu’il nous faut entreprendre avec les musulmans.
Bien cordialement.

Bernard, le 6/9/2016

Oui la porte d’une co-existence pacifiée avec les frères musulmans est étroite.
Saurons-nous la trouver et, du moins, rester maître de nous-mêmes devant les exactions à venir ?
Avec le sourire pacifié de l’espérance.

Julien, le 6/9/2016

Merci pour cet article qui nous provient de l'expérience pionnière de la relation islamo-chrétienne de Christine Fontaine et de Michel Jondot. Il me permet d'alimenter ma propre réflexion sur ma position de chrétien vis-à-vis de l'Islam, et de façon très concrète vis-à-vis des musulmans que je côtoie au quotidien dans ma ville de grande banlieue parisienne.

Il me semble que la position du chrétien doit être exigeante pour lui-même, et plus particulièrement dans la période actuelle. Elle consiste à se tenir sur une ligne de crête, la plus élevée possible, qui se fraye un chemin entre deux ravins. D'un côté celui du paternalisme et de la naïveté et de l'autre celui du rejet aveugle, de la haine. Ce n'est pas simple mais j'essaye, au moyen de la conversation notamment, de le trouver. Cela demande parfois du courage d'expliquer à un musulman en quoi je peux être choqué et en désaccord avec les pratiques d'une partie de ses coreligionnaires. Mais pour reprendre Paul, je ne rougis pas de l'Evangile... ni de la République et du principe de laïcité.

Le malheur aujourd'hui c'est que des mots forts qui désignaient des principes transcendantaux de vie commune ont été transformés en "-ismes" idéologisés à outrance. La laïcité a été dévoyée en laïcisme, l'identité en "identitarisme", la conservation en "conservatisme". Mais je préfère encore me coltiner cette République française en crise et pétrie de doutes qu'une société communautariste anglo-saxonne, soi-disant multiculturelle ou plutôt "multiculturaliste", à l'image par exemple du Canada rêvé de l'actuel premier ministre canadien Justin Trudeau.